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Sarlat, capitale du Périgord Noir. Mille ans d’existence, des dizaines de monuments classés ou inscrits, une gastronomie réputée partout dans le monde : en peu de mots, tout est dit. Son nom a tellement imprégné l’imaginaire que l’on croirait la connaître sans l’avoir jamais vue. Rien ne remplace pourtant l’émerveillement qu’elle inspire lorsque l’on chemine dans ses ruelles tortueuses et ses passages voûtés. À lui seul l’ancien hôtel de Leydis raconte toute l’histoire de ce lieu béni des dieux. Derrière sa façade médiévale, si parfaitement accordée à tout ce qui l’entoure, le visiteur aura tout le loisir de méditer confortablement, dans une suite ou autre, sur les beautés que l’homme a su ici bâtir et préserver.
Nous savions déjà que la Dordogne était l'une des plus belles et des plus intéressantes régions de France. Sarlat, en particulier, est l'épicentre de tous les sites importants des environs : les grottes ornées du Paléolithique comme Lascaux, les jolis villages perchés sur la rivière comme Rocamadour, les mille et un châteaux et jardins célèbres, les fermes de foie gras de canard et d'oie.
La caractéristique la plus importante de la maison d’hôtes est sa façade sud, où un balcon en fer forgé en encorbellement de style moyenâgeux témoigne de l’allure défensive de la construction originale. D’autres pierres évoquent également le Moyen Âge – deux gargouilles sculptées veillent sur une niche avec une statue de la Vierge, tout comme les traces d’arcs gothiques à l’intérieur et à l’extérieur.
Les Suites Sarladaises occupent l’ancien Hôtel de Leydis, un édifice imposant d’origine médiévale, rénové au 17e siècle par la famille Leydis qui a présidé aux affaires judiciaires dans le Présidial, la cour royale de justice. Au fil des âges les magistrats de cette famille et d’autres juges ont été logés dans ses très belles pièces.
L’édifice se compose de deux appartements et de trois studios à la disposition du voyageur avisé pour la location saisonnière. Chaque unité a été restaurée en respectant le tissu délicat d'un bâtiment ancien, mais avec toutes les commodités et le confort modernes. La décoration comprend de beaux objets d'art et des meubles que nous avons choisis spécifiquement pour renforcer l'aura originelle. Dans chaque pièce, une brochure explique en détail, un peu comme un guide de musée... Nous avons en outre volontairement limité l'occupation à deux personnes seulement afin de préserver l'ambiance.
Le village de Hautefort permet d'apprécier un magnifique château avec son mobilier et ses jardins à la française et une des plus belles campagnes, doucement vallonnée. Parmi les nombreuses grottes préhistoriques, Rouffignac, est à notre avis, celle qui offre l'émotion la plus authentique avec ses chevauchées de bisons peints dans le ventre de la colline. La Maison Forte de Reignac, unique en son genre dans un paysage de falaises préservées surplombant la Vénère, allie une architecture défensive et majestueuse au mode de vie troglodytique typique de la région. Pour une bonne table, nous recommandons toujours les fermes-auberges dont deux en particulier : La Ferme Lacombe sur la route des Eyzies et L'auberge de Layotte à Tursac.
910 € - 2240 € la semaine
260 € - 640 € le week-end
Les cinq suites, chacune dotée d'un esprit différent, se répartissent sur les trois étages de la maison. Au premier, le Griffon (l'ancienne cuisine de la maison au charme rustique) est un studio de 35 m2 composé d'une salle d'eau et d'une kitchenette avec un vieux cantou et un évier en pierre. En face, un appartement de 80 m2 de style Louis XV, appelé La Licorne, est composé d'un séjour, d'une vaste salle de bains, d'une grande chambre avec deux lits jumeaux transformables en lit double king size et d'une cuisine équipée. Au deuxième étage, Le Phénix, un studio de 35 m2 avec salle d'eau et kitchenette et La Salamandre (85 m2), avec une salle d'eau et une cuisine équipée d'un plano gastronome. Deux cheminées monumentales Louis XIII en bois dominent le salon et l’immense chambre à coucher. Son balcon, avec vue sur la ville, permet d'y prendre ses repas. Au troisième niveau, Le Caladrius, une suite de 26 m2 avec salle d'eau et kitchenette et une vue sur les toits en lauze du vieux Sarlat, est équipé d'un lit de fer et laiton orné d’un baldaquin en toile ancienne.
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