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Quel citadin n’a pas rêvé de se mettre quelque temps au vert pour avancer dans ses réflexions, loin de l’agitation ambiante ? À moins d’une heure de Paris, en bordure d’un village du Gâtinais, l’ancienne orangerie des Tourelles, dont la rénovation récente combine matériaux anciens et aménagements contemporains, distille une ambiance inspirante pour les séminaires ou les réunions professionnelles. Pour les moments de détente, le parc boisé saura oxygéner les esprits créatifs. La maison principale, qui a conservé tous les attraits de son noble passé, stimulera certainement quant à elle l’imagination les artistes du 7ème art.
Nous avons choisi de nous installer en Essonne car nous voulions vivre à la campagne tout en étant à moins d'une heure de Paris.
Le bâtiment principal est une maison de maître qui date du 18e siècle. Ce qui nous a séduit dans cette propriété, c'est la sobriété extérieure de l'édifice qui tranche avec la richesse des décorations intérieures : escalier d'honneur majestueux, salon ovale avec des boiseries, parquet, cheminée et tableaux du 18e et du 19e siècle. Le domaine offre également des dépendances intéressantes, dont l’orangerie et le pavillon du jardinier, ainsi qu'un parc de six hectares.
En 1584, François de Balzac d’Entragues acquiert la seigneurie de Boissy. Sa fille Marie-Charlotte, sœur de la maîtresse d’Henri IV, Catherine-Henriette de Balzac d’Entragues, l’agrandit. La seigneurie compte alors une ferme, une métairie, un grand corps d’hôtel, le tout assorti de terres, bois, vignes et prés. Marie-Charlotte continue de l’agrandir, obtient le droit de bâtir une chapelle et un pigeonnier. Elle fait donation en 1656 du domaine à l’Hôtel-Dieu de Paris. Guillaume de Lamoignon en devient propriétaire en 1659 et le revend à Nicolas de Montauzan en 1681. Le domaine, érigé en fief le 30 juillet 1681, prend le nom de fief d’Artois, tiré du nom de Mme de Montauzan, née Louise d’Artois. À la mort de Nicolas de Montauzan, ses deux fils Nicolas et Pierre héritent du fief d’Artois, en indivision. Suite aux difficultés financières de Nicolas de Montauzan, le fief est divisé et le domaine des Tourelles revient alors à Pierre de Montauzan. À sa mort, en 1753, celui-ci le lègue à son cousin germain, Jean Lemée, procureur au Châtelet de Paris qui en fait don à son filleul et neveu, Charles Jean Cormier en 1761. En 1802, la propriété est vendue par ses sœurs et héritières à Jean-Baptiste Mesnard, notaire à Paris. Son épouse, Mme Adélaïde Chavet, le transmet en 1857 à sa fille Amélie Mesnard, épouse de Jules Eugène Hardouin, conseiller à la Cour de Cassation. Au décès de Mme Hardouin, en 1888, le domaine est transmit à son fils Jules. Au début du 20e siècle, le domaine est divisé. Un des deux pavillons, abritant une exploitation agricole, est vendu. Il est aujourd’hui une ferme biologique. Le reste du domaine demeure dans la même famille jusqu’en 2015, date à laquelle nous devenons propriétaires.
Le domaine des Tourelles avec son parc de six hectares, est un lieu inspirant, proche de la nature, idéal pour travailler avec sérénité. Nous mettons à disposition des espaces de coworking pour recevoir clients, candidats ou partenaires ainsi qu'une orangerie pour organiser des réunions d’équipes, des ateliers ou des séminaires. À la belle saison des séances de sports et détente sont proposées.
Le domaine est situé dans le parc régional du Gâtinais, où des chemins sont accessibles depuis le parc. Le château de Courances, le domaine de Chamarande, le château de Courson, le château du Marais, le château de Saint-Jean de Beauregard, Jeurre et ses fabriques, le château de Saussay sont autant de destinations situées à moins de vingt minutes en voiture. Tout près du château, l'épicerie bio des Tourelles propose des légumes frais et locaux, de saison. Les environs disposent de quelques très bonnes tables : le restaurant « Le Coup de feu » à Breux-Jouy ou encore « Le Valromey » à Arpajon, situés à moins de dix minutes du domaine.
L'orangerie d'une surface de 130 m2, son jardin ainsi qu'une cour privée de 600 m2 peuvent être totalement privatisés pour des séminaires. Deux salles de réunion sont proposées avec une capacité totale de soixante personnes.
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