une maison de 1820 avec dépendances et jardin
Situation
La maison est située dans un village de la vallée de l'Ervre tout près de la célèbre cité médiévale de Sainte-Suzanne et dans la région des « Coëvrons » à l'est de la Mayenne. Le village est posé entre deux chaînes de collines, entouré de forêts, celle de Sillé-le-Guillaume avec son fameux « Saut du Cerf » et celle de la Charnie. Les commerces de proximité, l'école primaire et une gare TER à 2 h de Paris sont accessibles à pied depuis la maison. À 45 min, la gare TGV de Laval dessert Paris en 1 h 15 et Rennes en 50 min. À moins de 10 km, la ville d'Evron est dotée de tous les services dont des lycées, un hôpital, un grand marché hebdomadaire, un centre culturel, un conservatoire et une gare TER qui dessert Le Mans, Laval et Rennes.
Description
La maison
Édifiée au début du 19e s. sur un plan rectangulaire, elle est orientée nord-ouest / sud-ouest. La façade en moellon enduite est élevée de trois niveaux dont un sous combles. Une cave entièrement voûtée s'étend au sous-sol de la maison. La toiture d'ardoise est éclairée par deux fenêtres de toit côté jardin. La façade qui regarde le jardin est munie de cinq baies composées de fenêtres à la française à grands carreaux. Une porte d'entrée en bois ouverte sur un petit perron descend directement vers le jardin. La façade arrière est percée de trois petites lucarnes et en son centre d'une porte en bois peinte en bleu. Celle-ci mène à la cour, après deux marches.
Le rez-de-chaussée
Un vestibule distribue d'un côté la grande cuisine et de l'autre le salon, avec une cheminée en marbre. Une cuisine aménagée est équipée d'un poêle à bois. Depuis cette pièce, un couloir permet d'accéder à des toilettes et à la porte qui donne sur la cour. À ce niveau, tous les sols sont en carreaux de ciment d'origine, à l'exception de celui du salon, recouvert d'un parquet à l'anglaise.
Le premier étage
Un escalier en chêne d'une volée à quartier tournant donne accès à un dégagement. Il distribue deux grandes chambres, chacune avec sa cheminée en marbre. Les murs sont tapissés d'un remarquable papier peint d'origine. Une salle de bains complète ce niveau. Les sols sont recouverts de parquets de chêne à l'anglaise. Des toilettes et une buanderie sont accessibles à mi-étage.
Le deuxième étage
Le dernier niveau sous combles est couvert au sol de tommettes anciennes et éclairé de deux lucarnes.
Les dépendances
La première est élevée d'un étage et présente d’importants volumes exploitables. Elle prend appui sur l'arrière de la façade de la maison, côté salon. Sa façade enduite d'un crépis avec des baies entourées de briques regarde la cour intérieur côté est et le portail d'entrée de cette même cour. La toiture d'ardoise a été refaite. Après quelques travaux de rénovation intérieure, elle permettrait d'agrandir le logis principal, depuis le salon.
La deuxième comprend une grange sous forme de préau et un bûcher. Elle est orienté au sud et regarde la cour intérieure.
Ce que nous en pensons
Le territoire des Coëvrons compose un paysage vallonné, sillonné de petites rivières. Un tableau champêtre idéal pour une maison d'artiste, élégante et originale. Soigneusement entretenue par ses occupants successifs depuis le début du 19e s. la demeure présente encore de nombreux éléments décoratifs d'époque. Les pièces à vivre sont spacieuses et confortables, empreintes de ce supplément d'âme et de cette atmosphère propre aux grandes maisons de famille. Les futurs maîtres des lieux pourront développer une activité touristique, libérale ou artisanale dans la dépendance principale. Quant au jardin fleuri, il ménage un agréable espace de détente et un terrain de jeu bien délimité pour les enfants.
330 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 470882
Surface cadastrale | 309 m2 |
Surface du bâtiment principal | 110 m2 |
Nombre de chambres | 2 |
Surface des dépendances | 80 m2 |
NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.