deux maisons à pans de bois et leurs dépendances sur près de 6 ha
Situation
La mer est à cinq kilomètres à vol d'oiseau. Là où, au 19ème siècle, sont sorties de terre nombre de stations balnéaires mondialement connues. Le Pays d'Auge est facilement accessible de Paris par l'autoroute (accès à moins de 15 min) et, par train, de la gare de Deauville à 20 km. A équidistance de Cabourg et Houlgate et à 1,2 km de Dives-sur-Mer, port de pêche avec son marché de poissons quotidien. L'entrée, fermée par un portail en bois, reste discrète le long d'une de ces petites routes qui sillonnent le bocage en épousant les courbes des vallons.
Description
La maison et la piscine
D'une surface d'environ 110 m² , elle se compose de deux corps de bâtiments alignés. Les murs sont en pans de bois sur un soubassement de petites pierres de taille et sous des toitures à deux pans de tuiles plates, dont une avec demi-croupe. Les baies sont rectangulaires munies de fenêtres et de portes-fenêtres à petits carreaux. Elles sont protégées par des volets en bois.
Le rez-de-chaussée
La porte d'entrée ouvre dans une vaste pièce de séjour avec une cuisine ouverte. Elle est seulement séparée d'un second salon par le corps d'une cheminée double dont le cœur a été enlevé. Un poêle y a été installé et chauffe ainsi les deux pièces. Dans la pièce de séjour, le plafond est cathédrale, le sol pavé de tomettes anciennes, la charpente peinte dans un ton clair et quelques poutres laissées naturelles.
Dans le second salon, le départ de l'escalier en bois fait face à une double porte-fenêtre qui ouvre sur la terrasse. Un dégagement distribue une garde-robe, une salle de douche avec toilettes et une grande chambre.
Le premier étage
Ce niveau est légèrement mansardé. Le palier dessert deux chambres avec plafond cathédrale et une salle de douche avec toilettes. Les pièces sont éclairées par des lucarnes rampantes et deux baies rectangulaires sur le pignon pour l'une d'entre elles.
La piscine
De la terrasse, une volée de marches insérées dans un talus planté de lavandes conduit à la piscine (5 m x 10 m). Elle est bien protégée sur deux côtés par un muret soutenant des massifs arbustifs et ouverte vers la mer. Elle est chauffée par une pompe à chaleur et complétée par un chalet à usage de local technique.
La maison face à la mer
D'une surface d'environ 160 m², elle est constituée de deux corps de bâtiments alignés qui suivent l'inclinaison de la pente. Ils sont construits en pans de bois sur un soubassement de moellons et sous une toiture à deux pans de tuiles plates, percées de lucarnes jacobines et de lucarnes rampantes, encadrées à chaque extrémité par deux souches de cheminée. Les ouvertures sont toutes rectangulaires et munies de fenêtres et de portes-fenêtres à petits carreaux.
Le rez-de-chaussée
Une large double porte-fenêtre ouvre dans la vaste salle de séjour pavée de tomettes. Les murs sont clairs et les poutres et solives apparentes. Un escalier en bois trois-quarts tournant conduit à l'étage. Une extension sur la façade face à la mer abrite un petit salon largement vitré et une chambre avec salle de bains et des toilettes indépendantes.
Une volée de marches en bois mène au second corps de bâtiment. Un couloir distribue une chambre, des toilettes et la cuisine. De là, deux portes ouvrent l'une sur l'extérieur, la seconde dans un dégagement avec un escalier qui conduit aux combles aménageables puis vers la salle à manger. Dans cette partie, les sols sont également pavés de tomettes. La cheminée en pierre de taille avec un linteau de bois de la salle à manger est imposante. Un poêle à bois y a été installé. Une petite pièce avec un point d'eau sépare la chambre de la salle à manger (également accessible de l'extérieur par une porte-fenêtre).
Le premier étage
Ce niveau est légèrement mansardé. Le sol est fait d'un parquet de lames droites. Les fermes ont été laissé apparentes. Un couloir distribue d'un côté une grande chambre avec salle de douche et toilettes. De l'autre, deux chambres et une salle de bains avec toilettes. Les pièces sont éclairées par les lucarnes en chien couché.
Les caves
Une vaste cave est accessible depuis le dégagement de la chambre du rez-de-chaussée grâce à une trappe dans le sol. Sa surface est d'environ 20 m².
Les dépendances
Elles sont toutes construites en pans de bois avec des toitures de tuiles plates. Il s'agit d'une maison de gardien d'une surface d'environ 60 m² située à l'entrée de la propriété, une charretterie et un bâtiment à usage d'atelier et de stockage.
Les six hectares de terres
Environ quatre hectares sont dédiés à des herbages d'agriculture biologique et entretenus par des vaches. Le terrain restant a été aménagé en grands espaces enherbés plantés de nombreux arbres fruitiers -abricotiers, pruniers, poiriers, pommiers et même un savoureux mirabellier sauvage-. Les massifs arbustifs et fleuris sont nombreux, insérés dans des talus ou suivant les pentes. Ils ménagent nombre de recoins et d'espaces de détente, surmontés par des ramures, ouverts sur la mer ou cachés et isolés.
Les terres sont libres d'occupation.
Ce que nous en pensons
La seule beauté du site pourrait avoir été la raison d'une telle implantation : fabriquer du bon cidre ne peut se faire en un lieu quelconque et les actuels occupants ne s'y sont pas trompés. En témoignent le soin particulier apporté à la restauration des maisons tout autant que les larges espaces qui ont été dégagés et aménagés. La piscine a été conçue afin de se délecter du panorama. Le jardin, ses coins et ses recoins en sont comme de parfaits prolongements. Aussi, dans chaque espace de cette propriété idéalement placée pour une activité de location saisonnière et gîtes, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, l'horizon agit comme un aimant, véritable fascination.
1 490 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 577741
Surface cadastrale | 5 ha 93 a 27 ca |
Surface du bâtiment principal | 260 m2 |
Nombre de chambres | 7 |
NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.