À proximité de Vaux-le-Vicomte, dans l'un des premiers parcs à l'anglaise réalisés en France,
au milieu du 18e s., un château et ses nombreuses dépendances
Fontainebleau, SEINE-ET-MARNE ile-de-france 77300 FR

Situation

Dans le sud-est de l'Île-de-France, à la lisière d'un village de Seine-et-Marne qui dispose de tous les services, commerces et structures de première nécessité, la propriété, proche du domaine de Vaux-le-Vicomte, s'étend à cheval sur le plateau de Brie et un versant de la vallée de l'Ancœur. Non loin, s'écoule la Seine, au-delà de laquelle se trouve le parc naturel régional du Gâtinais français et la forêt de Fontainebleau. Paris est accessible en 1 h, tandis que Melun se rejoint en 15 min de voiture.

Description

Étendu sur environ 70 ha, l'ensemble, à première vue commun, cache pour qui sait regarder un cadre où la nature, discrètement magnifiée par l'homme, semble lui avoir offert son hospitalité en retour.
Dès l'arrivée, plein ouest, la quadruple allée de marronniers centenaires rappelle à l'ordre toutes les perspectives vers le château. Passé un pont en pierre gardé par deux lions en terre cuite, une imposante grille à double battant couronnée de volutes florales ouvre sur la cour d'honneur pavée, agrémentée de parterres à la française en symétrie et de rangées de tilleuls de part et d'autre. L'édifice frappe par son classicisme avec son corps central en pierre de taille flanqué de deux ailes basses et surmonté d'un toit à la Mansart en ardoise. Mais il faut remonter au 12 s. pour trouver les premières origines de la seigneurie, vers 1180. À l'époque, se dresse un château médiéval "flanqué de quatre tours, bordé de fossés remplis d'eau, fermé d'un pont-levis, avec chapelle, jardin, bois, étang". Le domaine passe par la suite entre les mains de différentes familles aristocrates et bourgeoises.
En 1750, les bâtiments sont la proie d'un incendie. L'édifice médiéval laisse alors la place à l'édification d'un château de plaisance, qui ne conservera du premier que les marques nobiliaires, dont le pigeonnier qui s'observe encore aujourd'hui. La mode est au classicisme : avec sa disposition entre cour et jardin, le château s'inscrit dans la course du soleil. Il reprend en fait le plan d'un hôtel particulier parisien, avec un bâtiment central à deux étages coiffés d'une toiture à la Mansart. Marqué par un avant-corps en légère saillie, ce dernier est flanqué de part et d'autre de deux ailes basses à arcades surmontées de toits-terrasses et couronnées de pots Médicis en pierre. L'aile au nord se prolonge par une petite galerie en retour d'équerre qui relie le château aux communs et forme ainsi, séparée de la cour d'honneur par un mur en symétrie, une basse-cour pavée. Tout autour de celle-ci, s'organisent les anciennes écuries et les dépendances aux toits de tuiles plates, aménagées pour l'accueil d'évènements.
Au sud, un portail donne sur un vaste potager clos de murs, équipé d'une serre. Un autre portail se dresse dans la perspective et mène à un jardin clos de murs dans lequel prend place l'orangerie, face à un labyrinthe de charmilles.
À l'est, enfin, s'étend le parc à l'anglaise. Hors enceinte, un pavillon de jardinier, d'anciens communs et 52 ha de bois parachèvent la propriété.

Le château

La façade principale, tournée vers l'ouest, s'organise autour de l'avant-corps central surmonté d'un fronton triangulaire. Chaque niveau est rythmé par cinq baies cintrées avec fenêtres à petits carreaux. La toiture est percée de part en part de l'avant-corps de deux lucarnes bombées. Les croisées cintrées de chacune des ailes prennent place dans les arcades murales.
À l'arrière, le fronton triangulaire de l'avant-corps central a laissé place à une lucarne cintrée avec ailerons encadrée de pots Médicis. La fenêtre du premier étage de l'avant-corps a été remplacée par une porte-fenêtre qui ouvre sur un balcon en fer forgé chiffré, soutenu par des consoles à volutes sculptées de feuillages. La porte-fenêtre du rez-de-chaussée de l'avant-corps est ornée, quant à elle, d'une clef sculptée d'un mascaron féminin, dont le regard contemple le parc. Les façades des ailes, en lieu et place de la rigueur des arcades, ont été agrémentées d'alcôves abritant des bustes en marbre ainsi que de hautes portes-fenêtres qui donnent sur des terrasses.


Le rez-de-chaussée
Le niveau a conservé sa disposition d'origine. Passé les quelques marches en pierre qui mènent à l'entrée principale, se découvre le hall. Les murs sont peints d'un décor de fausses pierres et de faux marbre. La hauteur sous plafond est d'environ 5 m. Le sol est en carrelage à cabochons noirs et blancs du 18e s. Une double porte vitrée ouvre sur la salle à manger. De chaque côté, deux portes en bois à double battant encadrée de décors de faux marbre se font face. L'une donne accès à un palier dans lequel prend place l'escalier d'honneur agrémenté d'une rampe en fer forgé qui dessert les étages. L'autre donne sur un dégagement paré d'un bénitier faisant office d'évier, qui mène à un boudoir couvert de boiseries. Le sol est en parquet Versailles.
Une porte à deux battants ouvre sur le premier salon. Ayant conservé son décor Louis XV, il est décoré de boiseries de style rocaille. Le sol est en parquet en point de Hongrie. Les portes sont surmontées de trumeaux avec peintures représentant divers paysages. La cheminée en marbre brun à rainure blanche est surmontée d'une glace. Deux portes à deux battants mènent au "grand salon". Ici, le baroque est de rigueur. Les murs sont là aussi peints d'un décor de faux marbre. Les portes à deux battants sont équipées de petits carreaux de miroir qui rappellent ceux du salon de la paix du château de Versailles. Le plafond voûté est peint d'un décor de ciel bleu qui se reflète dans les miroirs. Cinq lustres à pampilles éclairent la pièce. Une imposante cheminée similaire est surmontée d'un miroir en médaillon orné de dorures. Le parquet est également en point de Hongrie.
De retour dans le premier salon, une porte à deux battants mène à la salle à manger qui rappelle celle de l'hôtel de la Marine à Paris. La pièce semble être le décor du "Déjeuner d'huîtres" ou du "Repas de chasse" de Jean-François de Troy. Les murs ont gardé leurs boiseries aux couleurs pastelles. Le sol est à cabochons noirs et blancs. Une alcôve abrite un poêle en faïence agrémenté d'un décor floral. Une porte vitrée ouvre sur les terrasses avec vue sur le parc. Les portes sont surmontées de trumeaux peints qui représentent des putti. En enfilade, s'étend le "petit salon" au parquet en point de Hongrie et aux murs parés en partie basse de boiseries peintes dans un ton gris Trianon. La cheminée est en marbre brun.
Une double porte ouvre sur la cuisine. Fonctionnelle, celle-ci est décorée d'une tenture Vichy rose. Elle est éclairée par de hautes fenêtres à petits carreaux qui donnent sur le parc. Le sol est en carrelage. L'évier est en pierre et décoré d'un robinet en col de cygne. Une porte ouvre sur un dégagement qui dessert une ancienne petite salle à manger. Elle est parée de boiseries dans lesquelles les portes en arrondi se confondent avec les murs. Une cheminée en marbre noir est agrémentée de décors de bronze.
Une porte mène à une lingerie ainsi qu'à une petite pièce qui fait office de bureau. De retour dans la cuisine, une porte ouvre sur l'escalier de service qui distribue les étages. Enfin, une imposante porte en bois cloutée mène à une galerie qui relie le château aux dépendances.
L'entresol
Accessible par l'escalier de service, il se compose d'un couloir qui dessert des toilettes, une salle d'eau avec une douche à l'italienne et une double vasque. Le sol est en carrelage à cabochons. S'y trouvent également une chambre avec cheminée éclairée par une fenêtre à petits carreaux qui donne sur le parc, et une autre avec fenêtre, agrémentée d'une cheminée en marbre. Un second accès à l'entresol permet de rallier l'escalier principal.
Le premier étage
Il est accessible depuis l'escalier d'honneur qui mène à un palier. Le sol est en tomettes octogonales. Les murs sont couverts de toiles tendues aux motifs fleuris. Le niveau se compose de trois ensembles.
Le premier est accessible par une porte en bois peinte dans un ton gris Trianon qui mène à une garde-robe. Une porte ouvre sur la chambre principale éclairée par trois fenêtres à petits carreaux agrémentées de volets intérieurs en bois peints. Une cheminée en pierre Louis XV est surmontée d'une glace en trumeau. Une porte donne accès à la salle de bains au sol à cabochons noirs et blancs. Elle est équipée d'une baignoire, de deux vasques en marbre ainsi que de toilettes, et est éclairée par une fenêtre à petits carreaux. Partout, les murs sont couverts de la même toile tendue aux motifs fleuris.
De retour dans le palier, une porte ouvre sur le deuxième ensemble : un dégagement avec placards menant à une chambre avec une porte-fenêtre qui donne sur le balcon de la façade est. La pièce est agrémentée d'une cheminée Louis XV. Une porte s'ouvre sur une salle de bains avec toilettes.
Le troisième comprend une première chambre à coucher aux murs couverts d'une toile de Jouy tendue ainsi que de boiseries, avec cheminée en marbre et sol en tomettes. Une porte mène à une seconde chambre décorée de boiseries et agrémentée d'une cheminée en marbre.
Un palier permet de rejoindre l'escalier principal. Là, se situe une salle de bains avec toilettes, au sol de tomettes, éclairée par une fenêtre protégée de volets intérieurs en bois peint.
Le deuxième étage
Accessible via l'escalier principal, il débute par un palier qu'illuminent deux œils-de-bœuf et qui dessert quatre chambres. Une porte ouvre sur une garde-robe qui mène à un bureau agrémenté d'une cheminée d'angle. Le sol est en tomettes, les murs sont couverts de panneaux peints dans un style 17e s. La pièce distribue une chambre ainsi qu'une salle d'eau. Accessible depuis le palier, se tient une deuxième chambre avec cheminée en marbre et salle de bains. Un dégagement conduit à deux autres chambres, chacune éclairée par une fenêtre à petits carreaux avec vue sur le parc, ainsi qu'à une salle de bains avec toilettes séparées.
Les combles
Accessibles depuis une trappe, ils occupent toute la surface du corps central du château. En lieu et place des traditionnels greniers, s'y découvrent des voûtes dites "catalanes" en pierre. Suite à l'incendie de 1750, les architectes ont décidé d'exclure le bois, préférant la pierre. Le système de couvrement en brique alors employé nécessite des murs de plus de 2 m d'épaisseur et trouve son origine en Catalogne où les forêts étaient rares. Ce procédé s'est répandu à partir des années 1760. Son emploi ici fut donc précurseur.

Les communs

Élevés de deux niveaux, couverts de toits en croupe percés d'innombrables lucarnes capucines, ils se dressent au nord de la cour d'honneur.
Passé une grille en fer forgé, se découvre une première cour pavée autour de laquelle s'organisent trois anciens garages à calèche fermés par trois portes en bois gris agrémentées de ferronneries noires. À l'étage, mansardé, se trouve un logement de gardien de quatre pièces avec salle d'eau et toilettes séparées d'environ 70 m².
En retour d'équerre, les anciennes écuries se composent de multiples ateliers et remises. Au niveau supérieur, desservi par un escalier en bois, diverses pièces non aménagées totalisent une surface d'environ 90 m².
En face, accessible par deux entrées, la dépendance principale dite "la faisanderie", qui abritait autrefois les pièces de service, s'organise autour d'une cour carrée, ceinte par un cloître en bois, dans lequel un barnum, d'une capacité d'accueil d'environ 300 personnes, a été aménagé.
Depuis le cloître, une imposante porte en bois sculpté à décor de putti tenant une couronne, qui rappelle celle du château de Ferrières, ouvre sur l'arrière-cour. Une seconde large porte vitrée en bois à deux battants s'ouvre sur un vaste hall. À gauche, se trouvent des vestiaires ainsi que des toilettes ; à droite, trois salles de réception en enfilade, d'une surface totale d'environ 240 m². La première est agrémentée d'une cheminée en pierre. Le sol est à cabochons noirs et blancs, le plafond présente d'imposantes poutres apparentes, les murs sont peints dans un ton pourpre. La deuxième salle a conservé son sol en pierre et ses poutres apparentes, de même que la troisième. Une cuisine d'appoint achève l'enfilade, accessible directement par l'extérieur. Un dégagement sert de lieu de stockage tandis qu'un passage donne accès à une cave. Une porte en bois ouvre sur une galerie qui permet de rallier le château.
À la suite du bâtiment, passé un passage couvert, s'étend une nouvelle cour cernée par d'anciens boxes. Les façades sont parcourues d'un lierre taillé qui laisse apparaître les encadrements de baies en brique. Une grille autorise le passage de véhicules de service dans cette cour, qui conduit également à l'arrière du parc depuis un décor en treillage.
L'ensemble des bâtiments ont conservé de nombreux éléments d'origine. Ils ont fait l'objet d'une restauration soignée, qui leur a apporté confort moderne et facilité d'usage.

Le pavillon du jardinier

Construit en dehors de l'enceinte du château, de plan carré, sur deux niveaux, il bénéficie d'une parfaite indépendance. Sa toiture en pavillon avec lucarnes pendantes en croupe chapeaute ses façades enduites avec encadrements de baie et chaînages d'angle en pierre de taille.
Le rez-de-chaussée se compose d'une entrée orientée plein est, d'une ancienne cuisine, de toilettes, d'une vaste salle de séjour avec une porte à petits carreaux qui ouvre sur le jardin. Un escalier en bois mène au premier étage. Le niveau s'organise autour d'un palier qui dessert trois chambres à coucher et une ancienne salle de bains. Le second étage est composé de divers greniers aménageables.
Une cave agrémente l'ensemble, qui nécessite des travaux de restauration.

La longère

À proximité du pavillon du jardinier, encadrée de chaque côté par deux petits pavillons qui imitent celui du jardinier, elle s'élève sur un niveau orienté est-ouest. Une porte vitrée ouvre sur une vaste pièce de vie agrémentée d'une cheminée en pierre. L'espace dessert deux chambres à coucher ainsi qu'une ancienne salle d'eau.
L'ensemble du bâtiment, d'une surface d'environ 70 m², nécessite des travaux de restauration.

L'orangerie

Orientée plein ouest, elle se trouve dans le jardin au labyrinthe qui suit le potager. Rappelant un temple romain, bâtie en pierre de taille, elle présente une façade classique percée de trois arcades. De part et d'autre du corps central, deux ailes avec baies en arc en plein cintre viennent parfaire la symétrie de l'ensemble.
À l'intérieur, la surface est divisée en trois espaces distincts, les murs ont gardé les traces d'un décor de tressage d'antan, les sols sont pavés de pierres.

Le potager

Il s'organise autour d'une allée centrale qui s'inscrit dans la perspective du labyrinthe, longée de pelouses plantées d'arbustes que sillonnent des cheminements entremêlés et que bordent des haies basses de buis taillés. Ici, les sens sont en éveil. Le regard se porte sur les parterres rythmés par les couleurs et les dessins qui leur donnent vie, l'odorat s'anime au parfum que dégage le buisson de romarin.
L'ensemble a gardé ses éléments authentiques, notamment les anciennes réserves d'eau à certains angles des parterres. Adossée au mur, avec ses pans de toit convexes, une serre en verre à la structure en fer forgé a été soigneusement restaurée avec préservation de son aspect originel.

Le parc

Divisé entre une partie close de 17 ha et un bois de 52 ha, planté sous le règne de Louis XV en 1761, il constitue l'un des premiers parcs à l'anglaise créés en France. Le prince de Conti et la duchesse de Chartres sont spécialement venus au domaine pour l'admirer. Il est directement à l'origine de plusieurs créations paysagères de la seconde moitié du 18e s.
Inspiré des principes de Capability Brown, le parc se présente comme un jardin irrégulier, en partie en pente, organisé autour d'une vaste pelouse sur laquelle trône un vieux platane avec ses 8 m de circonférence, qui a reçu le label "arbre remarquable" en 2006. Ce platane hybride aurait environ 200 ans. Un obélisque en pierre dressé en arrière-plan d'une pièce d'eau ponctue la perspective. Surmontant ledit bassin, une grotte en rocaille rappelle plus humblement celle de Téthys. De part en part, des colonnes en pierre, ornées de vases Médicis, se reflètent dans ce miroir d'eau. Derrière la grotte, s'élève un pigeonnier, vestige de l'ancien château.
Une allée qui suit un cours d'eau artificiel creusé depuis un abri en pierre de plan carré, dit "pavillon de la source", mène à une île accessible depuis un pont en bois, sur laquelle se dresse un petit kiosque également en bois. Dans le prolongement de l'allée, se situe un belvédère qui surmonte l'ancienne glacière du château.
Au hasard des bosquets et des allées de buis plantés au milieu du 18e s., qui rappellent le classicisme paysager français, un dédale orné de statues de marbre représentant des allégories mène jusqu'à une vaste pièce végétale. Celle-ci est fermée par des murs en charmille et ornée en son centre de deux colonnes en pierre aux motifs de pommes de pin.
Au sud du château, le baroque a repris ses droits. Une allée de bustes se dévoile dans un décor de treillage, tel un théâtre végétal sorti de "La Belle et la Bête" de Cocteau.

Ce que nous en pensons

Un jardin extraordinaire qui parle anglais et français à qui sait écouter, qui dévoile ses secrets à qui sait observer ; une incitation des plus insignes à la curiosité des sens et à l'appréciation de la beauté paysagère. Le parc revêt les atours d'un véritable palais à ciel ouvert : le potager clos de mur et le labyrinthe plantés face à l'orangerie ont remplacé les salons en enfilade ; l'allée aux bustes a, quant à elle, supplanté la galerie des portraits ; la vaste pelouse ouvrant sur la pièce d'eau s'est faite grand salon, paré d'un plafond à ciel ouvert, orné de décors scénographiques et d'arbres remarquables. Un tableau dans lequel le château a su prendre une place de choix, son classicisme architectural s'assortissant d'ornements remarquables dans les multiples pièces de ses divers corps et niveaux.
Les nombreuses dépendances présentent d'importants espaces de réception qui pourront être développés au besoin, sans que l'appréhension globale du bâti et de son vert environnement ne soit perdue de vue. Par l'approche unique qui a présidé à la composition du domaine, le parc et le château constituent des œuvres singulières et indissociables, qui permettront de créer un lieu de renommée pour des manifestations d'envergure.

14 700 000 € Honoraires de négociation inclus
14 000 000 € Honoraires exclus
5% TTC à la charge de l'acquéreur


Voir le Barème d'Honoraires

Référence 517683

Surface cadastrale 68 ha 60 a 98 ca
Surface du bâtiment principal 900 m2
Nombre de chambres 12
Surface des dépendances 530 m2


Conseiller

Paul-Louis Beaumatin +33 1 42 84 80 85

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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.

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