Dans le Figeacois, un domaine historique inscrit MH, son château, ses
dépendances, et son parc de 27 ha avec étang romantique et piscine
Figeac, LOT midi-pyrenees 46100 FR

Situation

A proximité de Figeac et du village médiéval de Fons qui signifie « source « en latin, dans la région du Limargue, niché dans la Vallée de la Dournelle. Depuis l’Antiquité jusqu’à la fin du 19e siècle, Fons-en Quercy se trouva à la croisée des voies de communication qui joignaient la Méditerranée à l’Atlantique, par la « route de l’étain ». Quand à Figeac, située sur le Causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy, elle est labellisée «Grand Site d’Occitanie », «Ville d’Art et d’Histoire » et « Plus beaux détours de France ». La ville compte une gare ferroviaire reliant Brive La-Gaillarde, Rodez et Toulouse. Par la route : moins de 1h00 de Rodez, 1h30 de Brive-La-Gaillarde, et 3h00 de Toulouse. Trois villes disposant d’un aéropostal international.

Description

Le domaine, dont la vue embrasse toute la Vallée de la Dournelle, est en position sommitale au dessus du village de Fons-en-Quercy dont il assura la défense et la prospérité pendant plus de six siècles. Il comprend un château de 445 m2 environ à deux tours rondes de diamètres et d’époques différentes, un mas d’habitation de 120 m2 environ, un ancien bâtiment de ferme de 160 m2 environ, et une imposante grange étable de 828 m2 environ, autrefois haras, légendaire dans toute la région. L’ensemble, totalisant une superficie de bâtis de près de 1500 m2 château inclus, est inscrit MH. Un pigeonnier carré de 52 m2 environ à proximité du château aujourd’hui à usage de garage, ainsi qu’un pigeonnier rond de 29 m2 environ attestent de la puissance de la seigneurie passée. Le bâti de ce domaine affiche une diversité architecturale qui porte fièrement témoignage de son histoire tourmentée, mêlant toutes les époques depuis le 16e à la fin du 19e et s’exprime à travers les matériaux de construction les plus nobles de la région : pierres des carrières du Lot, chênes centenaires pour les charpentes et parquets, tuiles en terre cuite de formes variées selon la nature des bâtiments à couvrir.
Le parc domanial couvrant 27 hectares, totalement privé, est riche de multiples essences et d’arbres tutélaires. Il est séparé en deux par une petite route communale qui le traverse. II possède outre son vaste étang aux nénuphars, son nymphée, sa piscine creusée dans le roc et ses grottes, une série de trois lavoirs alimentés par une source dont l’eau coule naturellement chaude. Le système hydraulique du parc est inscrit MH.

Le château

Tel que l’on peut le voir aujourd’hui, il fut édifié à la fin du 16e siècle sur la structure médiévale préexistante d’un édifice royal que le roi René de Provence et d’Anjou avait érigé deux siècles plus tôt. Plusieurs fois détruit et reconstruit comme beaucoup de demeures défensives qui se trouvaient au cœur des batailles, il resta pourtant dans la même famille, de la fin du 16e siècle au milieu du 20e, les Pruhomme.
Elevé sur trois niveaux, hors caves et combles partiellement aménageables, il n’a plus rien aujourd’hui de martial et offre l’allure rassurante d’une grande maison de famille.
Orienté Sud-ouest / Nord-est, il est maçonné en appareil réglé de pierres de taille des carrières locales liées en joints gras et joints beurrés. Il se constitue d’un corps de logis carré cantonné par deux tours rondes dont les toitures furent refaites après le premier arasement ; l’une d’elles fortement pentue est garnie de tuiles en terre cuite en forme d’écaille, dite «  tuile alsacienne " ou « queue de castor » du à leur extrémité arrondie. Un corps de logis secondaire en retour d’équerre prolonge la noble façade ouest percée d’ouvertures au 18e siècle et de plusieurs « œils de bœuf ». De larges baies éclairent aussi les façades du corps de logis secondaire, dont les combles brisés à la Mansart, c’est à dire à deux pentes, sont percés de plusieurs chiens assis.


Les caves
Une série de caves courent sous le corps de bâtiment principal et le corps de logis secondaire, les deux tours étant exemptes de fondations. D’une superficie de plus de 90 m2, les caves existantes se répartissent en un grand volume voûté accessible par l’extérieur sous le bâti principal, tout comme un second à usage de chaufferie, et d’un dernier volume accessibles par l’intérieur, sous le logis secondaire.
Le rez-de-chaussée
Une porte basse à linteau de pierre taillée s’appuyant sur un perron semi-circulaire de trois marches, autorise l’accès à l’intérieur de la tour centrale. De multiples ouvertures de plain pied offrant des fragments de modénature Renaissance sur leurs linteaux, sont situées aussi bien sur la façade sud-ouest qu’aux autres points cardinaux et offrent autant d’accès directs par les autres multiples portes fenêtres.
L’entrée par la tour centrale permet le débouché dans un vaste vestibule circulaire dont le point saillant est l’ escalier. Sa vertigineuse volée en forme de point d’interrogation inversé, à rampe sculptée de fuseaux, véritable chef d’œuvre de charpentier, totalement en bois de chêne ciré, impressionne d’autant plus qu’elle est inattendue au sortir de la modeste porte d’accès. Le parquet, sans doute d’époque Haussmannienne, s’ordonne géométriquement en une série de six longs panneaux horizontaux en chêne ancien et orme, encadrés par de larges lattes transversales de mêmes essences.
A droite du vestibule circulaire, une porte à double battants mène au logis principal et à sa suite de pièces en enfilade comportant une salle à manger et un salon de musique, orné d’une cheminée en merisier blond sculptée au 18e s. surmontée d’un miroir encadré dans un trumeau à motif de nature morte aux instruments de musique. Un petit salon d’appoint rond avec cheminée en bois d’époque Directoire et bibliothèque murale encastrée, clôt l’enfilade dans la tour d’angle. Autant de pièces aux décors muraux en lais de tissus d’une grande sobriété uniquement distraite par des corniches en bois peint, des plinthes de même traitement et des rosaces de plafond en stuc. Partout au sol les mêmes spectaculaires panneaux géométriques de parquet ciré plus que centenaire et impeccablement préservé.
A gauche du vestibule circulaire après un dédale de dégagements, l’accès s’ouvre vers le corps de logis secondaire construit au 19e siècle, et comportant une vaste cuisine familiale au sol recouvert de larges carreaux anciens de terre cuite vernissée. Le reste de la superficie est occupé par la lingerie, la buanderie, le cellier et un escalier intérieur menant aux caves.
En dépit de sa belle allure de confortable maison de famille, le château nécessite quelques des travaux de rafraîchissement et de mise aux normes, notamment des évacuations, très obsolètes.
Le premier étage
L’envolée de l’escalier arachnéen s’arrête en réalité à cet étage pour se prolonger en balustrade décorative. Il ouvre à droite, sur une porte et à gauche sur un escalier descendant qui rattrape la petite différence de niveaux entre les deux corps de logis.
A droite, vers le logis principal, un long dégagement sur la façade dessert une chambre de maître à triple éclairage traversant, prolongée par un bureau circulaire installé dans la tour d’angle. La façade nord-est est occupée par des toilettes, une garde robe et une très vaste salle de bain du début du 20e siècle illuminée par une grande baie vitrée ouvrant sur la campagne. Même décor sobre sur les murs, mêmes cheminées en bois précieux minutieusement sculptées et ornées de trumeaux et surtout même adaptation géométrique de panneaux de parquets constitués à cet étage, soit de larges planches beaucoup plus rustiques soit de lattes plus fines dans le goût des parquets citadins de la fin du 19e s.
A gauche, vers le logis secondaire, au sortir des quelques marches d’escaliers, deux chambres et une salle de bains séparées par un salon-bibliothèque à éclairage traversant.
Une des caractéristiques de ce château est d’ailleurs de posséder plus de fenêtres qu’il n’est d’usage dans ce type d’architecture, ce qui en rend l’intérieur particulièrement lumineux.
Le deuxième étage
Accessible à partir d’un escalier droit en chêne massif dont le départ de rampe se trouve dans l’aile Est et non plus dans la tour centrale, la répartition des pièces à cet étage est radicalement différente. Le logis secondaire n’étant occupé que par des greniers, c’est dans le logis principal et les deux tours que se concentrent les chambres. Elles sont au nombre de quatre avec deux salles de bains. Groupées autour d’un dégagement en façade, elles sont réparties dans la tour centrale désormais occupée par une grande chambre circulaire, et dans la tour d’angle ainsi que dans le corps de logis principal qui en abrite deux avec leurs deux salles de bains. Toutes les chambres parquetées dans le même esprit rustique que celles des autres étages, bénéficient d’un surbaissement des plafonds très en vogue au 18e siècle à l’imitation des petits appartements versaillais. Les chambres y gagnent en confort bourgeois et en chaleur l’hiver de même qu’en luminosité grâce aux fenêtres à double vantaux et à petits carreaux. Tous les murs sont recouverts de papiers peints anciens, ou de tissus. A partir de toutes les chambres, les mêmes vues sur le parc, ses étangs et la vallée, digne des compositions les plus romantiques de grands peintres paysagistes.
Le troisième étage
Un étage constitué de greniers sous comble qui courent aussi bien sur le logis principal que secondaire englobant les deux tours. Il comporte notamment trois pièces en enfilade aménageables. Ici encore, un travail du bois tout à fait exemplaire anime la charpente.

Grange-étable, ancien haras

Accessible au sortir d’une allée cavalière de platanes centenaires qui la reliait autrefois au château, c’est une dépendance aussi légendaire que le château lui même. Non seulement grâce à sa monumentale charpente en carène renversée, véritable chef d’oeuvre des maîtres charpentiers et ouvriers locaux, mais aussi grâce à son commanditaire, le dernier Vicomte de Prudhomme, le colonel de Cornély, qui mena ici une double action bâtisseuse et sociale, lors de l’embellissement qu’il réalisa à partir de 1868. Passionné de cheval, il décida en effet de construire un haras qui soit un véritable château.
Construite parallèlement à une pente soudaine du terrain qu’elle rattrape sur toute sa longueur, elle est accessible par deux rez-de-chaussée, en fonction du côté duquel l’on négocie l’entrée.
Au Sud, le corps central rectangulaire s’élève d’un étage sur rez-de-chaussée et sous combles, maçonné en appareil irrégulier de pierres de tailles, percé de multiples ouvertures garnies de fenêtres de bois à petits carreaux vitrés, de fenestrons en forme de losange, et de nombreuses portes charretières cintrées. Il est couvert d’une vertigineuse toiture à pans coupés qui cache à peine les dimensions hors normes de sa charpente.
Au Nord, eut égard à la pente, un seul niveau sous toiture est perceptible.
Pour parfaire son allure de château, l’édifice est flanqué de deux tours latérales de quatre étages sur rez-de-chaussée en pierre, avec tourillon en brique en accolade de l’une d’elles. Les tours sont coiffées d’une toiture conique en tuile plates de terre cuite. Tout à l’extérieur de ce bâtiment, de la menuiserie à la charpente et à la toiture, a été récemment restauré.


Le rez-de-chaussée
Le bâtiment principal est partagé entre la salle des piliers (156 m2) et les anciennes écuries (120 m2)
Elles sont accessibles sur son flanc sud par six portes charretières cintrées à impostes, qui étaient au nombre de dix à l’origine. La salle des piliers découvre en réalité une salle des mangeoires en bois encore intacte, ornée de deux arches en pierre taillée soutenues par deux piliers ronds latéraux et deux piliers centraux, à l’image de certains chais du bordelais. Sols en dalles de pierres anciennes ou en béton. La partie écurie aujourd’hui à usage de débarras complète cette partie du bâtiment entièrement à aménager intérieurement. Dans les deux tours latérales, deux chambres à aménager totalement elles aussi sont percées de généreuses fenêtres.
Le premier étage
Grâce au rattrapage de pente, c’est soit à partir de la salle des piliers côté sud, soit directement, coté nord, à partir de la chaussée, que l'on accède par une monumentale porte charretière, à une grande halle où l’on découvre l’enchevêtrement des poutres de la charpente culminant à 10 m de hauteur méritant bien son nom de charpente-cathédrale. Les murs maçonnés en appareil régulier laissent apparaître partout de façon brute et austère la pierre de taille en soutien constant de l’interminable dentelle de bois qui les surmonte. Le sol est formé d’une alternance d’une dizaine de panneaux monumentaux de parquets sombres séparés par des lattes en chêne clair, un peu sur le modèle des tatamis traditionnels japonais. Trois pièces d’habitation le long d’un couloir de desserte occupent le reste de l’espace de même qu’une pièce dans chacune des deux tours.
Le deuxième étage
Totalisant 82 m2 environ, accessible à partir d’un escalier droit, le niveau se divise en quatre pièces d’habitation, certaines comportant une cheminée, autrefois destinées au personnel et à réhabiliter en totalité.
Le troisième étage
Une vaste pièce de 46 m2 dans la partie centrale dessert deux chambres semi circulaires, dans chaque tour latérale. Entièrement à réhabiliter.

Les deux pigeonniers

Dès le Moyen-Age, le pigeonnier assurait un apport important en nourriture et en engrais, source de richesse pour le seigneur aussi bien que pour ses gens. Plus tard il fut l’objet d’un privilège dont la noblesse seule pouvait user. Autant dire qu’il est le symbole par excellence de la puissance seigneuriale. Le fait que ce domaine en possède deux affirme d’autant plus sa richesse passée.
Le pigeonnier du château, de forme carrée, d’un étage couvert d’un toit à quatre pans en tuiles canal, est situé à une cinquantaine de mètre du logis, pouvant ainsi donner l’illusion d’une troisième tour. Extérieurement, en perspective, il se fond harmonieusement avec le château à la faveur d’un rattrapage de pente du terrain et dissimule habilement une partie basse de plan rectangulaire à usage de garage de 50 m2 environ. En complement, un rez-de-chaussée et un étage à usage de remises d’une surface identique.
Le pigeonnier de l’étable, inscrit MH, s’élève lui aussi à peu de distance de la grange-étable, exactement à l’image de celui du château. De forme ronde, d’une superficie d’une trentaine de mètre carrés environ, recouvert d’un toit conique très pentu en ardoise, il présente un espace en forme de demi-cercle au rez-de-chaussée et un espace circulaire au premier ouvrant sur une coursive sommitale lui donnant des allures de petit chemin de ronde

Le mas d’habitation

Situé sur un terre-plein au nord de la grande étable et orienté Sud, le mas d’habitation élevé sur deux niveaux est entièrement à restaurer intérieurement. En pierre taillée de carrières locales et recouvert de tuiles anciennes en terre cuite, il est accessible par une porte à deux vantaux aménagée dans une ancienne porte charretière dont le cintre a été comblé. Il s’agit en réalité d’un ancien séchoir à pruneaux que les fermiers avaient coutume d’emménager au 19 e s. Dans leur habitation même et qui consistait en une étuve chauffée au bois, sous une simple voûte de briques. D’une soixantaine de mètres carrés, le rez-de-chaussée s’ouvre sur une cuisine - salle commune possédant un cantou et sur une arrière cuisine - garde-manger.
L’étage de superficie identique n’est pas accessible, l’escalier n’étant pas praticable, mais comporte deux chambres et une ancienne salle d’eau. Partout les murs maçonnés en appareil irrégulier de pierre taillée, quelquefois recouverts d’un enduit à la chaux, quelquefois bruts, des plafonds à la française assez rustiques, et des sols en larges dalles de pierre irrégulièrement agencées. Un hangar de 30 m2 environ de même facture architecturale et de mêmes matériaux est adossé à la maison.

La ferme

Non loin de ces corps de logis, mais pas au point de former un hameau avec eux, un ancien bâtiment de ferme de 160 m2 élevé d’un étage sur rez-de-chaussée, aujourd’hui sans aucune huisserie, est entièrement à restaurer. Il comporte au rez-de-chaussée une grande pièce centrale et deux pièces latérales, totalisant 80 m2 environ.
L'étage, accessible par le terrain arrière, dispose d’une surface totale identique de 80 m2 et reste entièrement à aménager.

Grottes, nymphées et sources

La présence de résurgence d’eau chaude naturelle a toujours fait gambader les imaginations… tout en soignant les rhumatismes. La source d’eau chaude présente depuis des millénaires sur cette propriété n’y échappe pas. Elle alimente une série d’anciens lavoirs. Plusieurs grottes encore accessibles permettent de s’y rendre. Dans l’une d'elles, à la verticale des caves du château, est encore visible en 1992 une statue de la Vierge de Lourdes, évocatrice du caractère sacré du lieu (compte rendu de visite VMF 10 août 1992). Un caractère clairement établi dès l’année 846 lorsque les ossements de Saint Vivien furent présentés en ces lieux avant d’être purement et simplement volés, pour leur valeur miraculeuse, par les moines de l'Abbaye de Figeac. L’affaire était réglée.

Parc et piscine

Le parc, résolument à l’anglaise, est, outre le bâti historique, l’un des atouts majeurs de ce domaine. Il a été créé par le colonel de Cornély après 1868, bien que quelques essences soient plus anciennes comme certains platanes qui ont plus de 200 ans. Inclus dans le relief valloné de prés et de bois du domaine, il comporte un étang aux nénuphars où se mire avec un romantisme certain le château, encadré dans son reflet par une profusion de lys d’eau et d’arums. Cèdres du Liban, platanes centenaires, tilleuls, chênes tutélaires, conifères vénérables et futaie mélangée occupent le reste des espaces séparés par des haies naturelles habilement préservées qui tracent une géométrie rustique d’une incommensurable beauté, s’ouvrant sur le village de Fons en contrebas dans le lointain.
Système hydraulique, bassins, nymphée et étang sont inscrits MH.
Une vaste piscine ovale qui a la particularité rare d’être alimentée en eau de source a été creusée à même la roche et renforcée en béton au siècle dernier. Elle possède sur une partie de sa circonférence un accès non bordé à une plage descendante vers sa partie la plus profonde.

Ce que nous en pensons

Dans une région aussi touristique que celle de Figeac, située entre Causses et vallées, un ensemble castral d’une telle ampleur et d’une telle allure, assorti d’un pareil foncier en position dominante et aussi protecteur, par son immense parc de 27 ha, sont une chance. Tous les développements sont imaginables, moyennant quelques travaux de rénovation et de mise aux normes. Les dépendances, situées à bonne distance du château, peuvent être exploitées de façon totalement autonome, sans aucune gêne.
La ressource en eau est un atout majeur. L’omniprésence millénaire de sources, chaudes et froides, permet d’alimenter non seulement le domaine et ses habitations mais aussi la piscine, l’étang, l’arrosage des terres etc.
Le maintien sur les lieux d’un gardien, factotum très précieux qui connaît parfaitement le domaine et l’apprécie, peut aider à garantir une familiarité immédiate avec cette singulière propriété, quel que soit l’usage que l’on souhaitera en faire, à commencer par ce qu’elle a toujours été, une vaste et agréable maison de famille comme il en existe peu.

Vente en exclusivité

1 490 000 €
Honoraires à la charge du vendeur


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Référence 794400

Surface cadastrale 27 ha 56 a 70 ca
Surface du bâtiment principal 445 m2
Nombre de chambres 7
Surface des dépendances 1138 m2

Direction Régionale

Ilan Libert +33 1 42 84 80 85

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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.

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