À 112 km de Paris, une demeure historique de ville de province du début du 19e s.
sur un terrain d'environ 800 m², ponctué d'un vestige médiéval
sur un terrain d'environ 800 m², ponctué d'un vestige médiéval
Louviers,
EURE
haute-normandie
27400
FR
Situation
En Normandie, terre de mer et de méandres, patrie de Flaubert et de Victor Hugo, au creux du département de l’Eure, sur la rive gauche de la Seine, la propriété jouit d’un emplacement calme, à proximité de tous les commerces et structures administratives. La ville où elle se trouve, marquée par son passé médiéval, compte environ 4 200 âmes. Les infrastructures scolaires, écoles et collège, sont à environ 200 à 500 m. Un marché hebdomadaire prisé pour ses produits locaux réunit les chalands chaque dimanche matin.
L'autoroute A13, à 6 km, permet de rallier Paris en 114 km, soit en 1 h 15. De plus, la gare SNCF la plus proche est à 8 km, les capitales régionales Rouen – qu'Hugo avait surnommée la « Ville aux cent clochers » – et Évreux, diamétralement opposées, se situent toutes deux à moins de 20 km.
Enfin, une forêt domaniale, vaste terrain pour les randonneurs et autres promeneurs, est un poumon verdoyant et regorge d'activités pédestres, cyclistes ou équestres à seulement 1 km à pied.
Description
L'entrée dans la propriété s'effectue par un portail métallique peint en vert et encadré de murets bas ainsi que de sobres grilles, que jouxte son garage. De là, s'étend son jardin tout en longueur, au fond duquel se dresse le logis, à environ 80 m de la route.
Érigé au début du 19e s., ce dernier s'élève sur quatre niveaux surmontés d'un toit à deux pans en ardoise avec égout retroussé, percé d'une double lucarne capucine qu'orne un épi en métal. Sa façade principale, en pierre, est recouverte d'un enduit de couleur blanche et rythmée par des bandeaux, une corniche ainsi que des encadrements de baie très sobres au premier étage qui tous soulignent son caractère rectiligne. Les baies droites, pleines de fenêtres et à grands carreaux, sont protégées par des garde-corps ouvragés en fer forgé et ornées de lambrequins en fer au premier étage. L'ensemble des menuiseries, leurs décors ainsi que la porte d'entrée, également vitrée, protégée par une ferronnerie à fines volutes et surmontée d'une marquise, sont peints en vert foncé. Une vaste terrasse incrustée d'éclairages d'extérieurs jouxte la façade principale.
À l'entrée, sur la gauche, deux dépendances permettent d'abriter véhicules et outillage divers. Sur la droite, au milieu du jardin, se situe une ruine médiévale, vestige du passé historique du village.
Enfin, une terrasse carrelée en terre cuite, à l'avant du logis, se montre idoine pour y prendre ses repas dès les beaux jours, à l'abri des regards du voisinage.
Érigé au début du 19e s., ce dernier s'élève sur quatre niveaux surmontés d'un toit à deux pans en ardoise avec égout retroussé, percé d'une double lucarne capucine qu'orne un épi en métal. Sa façade principale, en pierre, est recouverte d'un enduit de couleur blanche et rythmée par des bandeaux, une corniche ainsi que des encadrements de baie très sobres au premier étage qui tous soulignent son caractère rectiligne. Les baies droites, pleines de fenêtres et à grands carreaux, sont protégées par des garde-corps ouvragés en fer forgé et ornées de lambrequins en fer au premier étage. L'ensemble des menuiseries, leurs décors ainsi que la porte d'entrée, également vitrée, protégée par une ferronnerie à fines volutes et surmontée d'une marquise, sont peints en vert foncé. Une vaste terrasse incrustée d'éclairages d'extérieurs jouxte la façade principale.
À l'entrée, sur la gauche, deux dépendances permettent d'abriter véhicules et outillage divers. Sur la droite, au milieu du jardin, se situe une ruine médiévale, vestige du passé historique du village.
Enfin, une terrasse carrelée en terre cuite, à l'avant du logis, se montre idoine pour y prendre ses repas dès les beaux jours, à l'abri des regards du voisinage.
Le logis du 19e s.
Deux marches descendantes permettent, depuis la terrasse et via la porte d'entrée vitrée, en bois et panneautée, l'accès à l'intérieur. Un hall tout en longueur dessert l'ensemble des pièces, réparties sur trois niveaux.
Le rez-de-chaussée
Un hall d'entrée pavé dessert sur la gauche un salon ainsi que, à l'arrière, une salle à manger, une cuisine, une arrière-cuisine et des toilettes. Un escalier aux marches en bois patiné tournant à gauche avec main courante et rambarde en fer forgé mène aux étages. Les murs sont à pans de bois. Dans le salon, parqueté à l'anglaise et agrémenté d'une cheminée en marbre, trois baies laissent passer généreusement la lumière du jour. Les sols des autres pièces sont recouverts de carrelages. La salle à manger, située entre le salon et la cuisine, présente également une cheminée au manteau de briques et aux piédroits en pierre sculptée. La cuisine, aménagée dans une extension à l'arrière de la demeure, dispose d'un accès à une modeste cour qui rejoint la vieille ville et ses commerces à 300 m, dont une boulangerie. Enfin, une petite cave voûtée s'étend sous le niveau.
Le premier étage
Un dégagement distribue trois chambres et une salle de douche avec toilettes. Les sols sont recouverts de parquets droits en pin sauf dans cette dernière pièce, carrelée. Deux chambres ont comme au niveau inférieur des murs à pans de bois.
Le deuxième étage
Les pièces du niveau, situées sous les combles sur un côté, deux chambres et une salle de bains, présente une charpente apparente qui s'appuie sur les murs à pans de bois. Les sols sont recouverts de parquets ou d'un carrelage. L'une des chambres a une vue sur les toits, à l'arrière du logis.
Les combles
Ils consistent en une unique pièce à usage de grenier qui peut être aménagée en pièce de vie supplémentaire. Le sol y est recouvert d'un parquet droit.
Le garage
Accessible depuis la route, mais également par le jardin, il occupe une surface d'environ 25 m².
La dépendance
Située sur la gauche du jardin, le petit bâtiment, d'environ 25 m², permet de protéger les outils de tonte et le mobilier d'extérieur.
La charreterie
Dépendance ouverte, adossée à l'un des murs du jardin et couverte d'un toit en tuile, elle peut être utilisée comme cuisine d'été.
Le jardin
Tout en longueur sur une surface de 700 m² environ, hors logis, il est complanté de différentes essences et ponctué par le vestige d'une tour médiévale, avec à sa base un bassin d'eau, le tout éclairé et alimenté électriquement.
Les murs sont construits en moellon avec faitage en tuile et longés de diverses plantations florales.
Ce que nous en pensons
Une demeure historique où se mêlent les traits de deux époques, les 19e et 20e s., agrémentée d'un vestige inattendu du Moyen Âge. La confortable maison de ville, non isolée, sécurisée, avec un équilibre reposant et à taille humaine, tant intérieurement qu’extérieurement, présente le caractère typique d'une demeure dont l'architecture balance, comme son emplacement, entre Normandie et Île-de-France.
La vie en ces lieux est agrémentée et facilitée par la présence, à quelques minutes, de commerces de bouche et d'infrastructures administratives, mais également de chemins de balade sur les rives de la Seine à 300 m.
395 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 390321
| Surface cadastrale | 80 m2 |
| Surface du bâtiment principal | 200 m2 |
| Nombre de chambres | 5 |
| Surface des dépendances | 50 m2 |
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
