Aux abords de Périgueux, en surplomb d'un parc de 12 ha, d'un ruisseau et d'un étang,
une maison de maître du 18e s. et ses nombreuses dépendances
Périgueux, DORDOGNE aquitaine 24000 FR

Situation

Dans le sud-ouest de la France, au centre du département de la Dordogne, le Périgord blanc présente un paysage vallonné ainsi qu'un bâti ancien et riche, aux couleurs changeantes au gré de la lumière ambiante, grâce au calcaire blanc dont sont traditionnellement faites les façades, provenant des carrières locales.
Le bourg le plus proche, à moins de 2 km, propose divers services de proximité. En outre, à l'entrée de Périgueux, une zone commerciale déploie tous les commerces, structures et services de première nécessité. L’hôpital de Périgueux se trouve à moins de 20 min et Bordeaux à 1 h 40 via l’A89.

Description

Encadré par une petite route de campagne et un ruisseau tortueux, le domaine s’étend sur une douzaine d’hectares de nature traversés par des sentiers. L’hiver, un puits et un ru alimentent des canaux et un étang de plus d’1 ha qui épouse la pente du pré mitoyen au gré des saisons. Des plantations d’arbres et des allées boisées délimitent des prés et des parcelles agricoles.
Le bâti principal, en forme de L, circonscrit sur deux côtés une cour intérieure, également bordée par des bâtiments de dépendances et un haut mur en pierre construit le long de la route. L’ensemble est implanté en léger surplomb d’un double parc clos et arboré, d’une piscine isolée et de terres qui s’étendent de chaque côté de la terrasse du logis orientée à l’est.
L’accès principal du domaine traverse une allée cavalière de platanes centenaires étirée sur quatre rangées tandis que l’accès secondaire, plus central, consiste en une cour semi-fermée qui dessert les constructions déjà évoquées : le logis au sud et un ensemble de bâtiments de ferme au nord, comprenant une habitation actuellement louée. Enfin, plus au nord, le long de la route, se trouve une parcelle constructible rectangulaire incluse dans la vente.

La maison de maître

Elle se compose d’un long corps de logis sous une toiture à deux pans en tuile canal. Une tour d’angle rectangulaire qui domine l’ensemble fait le lien avec une partie habitable complémentaire positionnée en retour d’équerre. Les façades à pierre vue jointoyée à la chaux sont percées de nombreuses baies, garnies de fenêtres en bois, protégées par des contrevents d’origine cintrés en partie haute.


Le rez-de-chaussée
Depuis la cour intérieure, un hall d’entrée, commandé par la porte principale au milieu de la façade, traverse le bâtiment et permet d’accéder directement à un balcon ainsi qu'à un escalier dominant le parc. Le garde-corps est en fer forgé et une cloche permet de sonner l’heure du repas. Côté cour, le hall partage en deux un long couloir qui dessert chacune des pièces principales et rejoint un second hall dans la tour. La salle à manger et sa cheminée au manteau en bois sculpté reposent sur un parquet en pitchpin, très à la mode autour des années 1900 pour son aspect chaleureux. Des boiseries au bas des murs font écho aux portes et placards en bois ainsi qu'au plafond haut à la française. Une cuisine en enfilade a été entièrement rénovée et rééquipée, avec un sol en travertin. Elle rejoint une petite pièce donnant sur la terrasse, une chaufferie et une souillarde, puis le couloir et des toilettes. Au-delà, se trouvent un vaste hangar à usage de garage et une dernière porte d’entrée. De l’autre côté du hall principal, un salon se présente comme le pendant de la salle à manger à ceci près que sa cheminée est en pierre sculptée et que la pièce nécessite un rafraîchissement. Le couloir, au sein duquel un ancien évier équipé d’une réserve d’eau est encastré dans le mur, distribue ensuite une cage d’escalier qui mène au niveau inférieur ainsi qu'à l’étage, partagé entre les combles et la partie haute de la tour. La chambre principale, lumineuse et entièrement rénovée, est encadrée par une garde-robe et une salle de douche avec toilettes séparées. Autour du hall secondaire, se trouvent enfin des toilettes et trois chambres à coucher rénovées avec leurs salles de douche ou de bains respectives.

L'étage
Un palier distribue d’une part les combles isolés au niveau du sol, d’autre part un espace aménagé sous les rampants et le dernier niveau de la tour d’angle. Une antichambre, éclairée par une fenêtre de toit et équipée de toilettes indépendantes, permet de rejoindre deux chambres à coucher rénovées avec du lambris, isolées sous un plafond à la française, et leurs salles de bains.

Le rez-de-jardin
Épousant la légère pente du parc, la maison est en partie construite sur deux caves voûtées, une ancienne cuisine et un garage aménagé dans la tour.

Les dépendances dans la cour

Dans la continuité du corps de logis, se trouvent deux bâtiments de dépendance de part et d’autre du porche d’entrée.


Le bâtiment de réception
Une vaste pièce de réception aux poutres épaisses est équipée d’une cheminée monumentale, d’une large porte à double vantail et d’une porte piétonne qui donne sur la cour. Un escalier en bois fermé par une porte permet d'accéder à un grenier de volume identique à celui de la pièce qu'il surmonte.

Le porche d'entrée
Passage couvert situé en face de l’allée de platanes, il permet d’accéder à la cour.

La charretterie
Restée dans son jus, elle abrite des espaces de stationnement et trois boxes sous une mezzanine à foin.

L'ensemble de bâtiments
Trois petites dépendances entièrement restaurées ferment l'angle de la cour. En partant du portail monumental, la première sert de salon d'été couvert sous une charpente apparente. Une remise fermée fait l'angle avec un préau surélevé d'un grenier dont la façade arbore une impressionnante frise de bois décorative en forme de croix de Saint-André.

Les autres dépendances


L'ancien corps de ferme
Il a été transformé en une habitation secondaire de plain-pied de 85 m² environ, actuellement louée, accompagnée d'un garage, d'un bûcher et d'une grange-étable attenante.

Le hangar
Dans le prolongement de la maison, au-delà de la chaufferie, s’étend un vaste hangar agricole sous une très haute charpente qui permet de stationner plusieurs véhicules de tous gabarits.

Le parc et les terres

La façade est de la maison domine un parc clos de murs en pierre, planté d’arbres centenaires, qui rejoint un second parc semi-clos où se trouvent une piscine sécurisée par des grillages et son pool-house. L'hiver, la vallée redevient un labyrinthe d'eau qui singularise le domaine. Le puits alimente les canaux qui rejoignent le ruisseau tortueux en bordure de propriété. L'étang, de plus d'1 ha, s'est fait repaire pour des oiseaux de toutes tailles. Des haies délimitent les espaces et un sentier permet de faire le tour du propriétaire comme de longer l’étang. Enfin, en remontant le chemin vers la route, les prés laissent place à des futaies, des allées cavalières et une parcelle constructible.

Ce que nous en pensons

Une propriété du 18e s. qui réunit tout ce qui fait le caractère d’un ancien domaine dans un ensemble cohérent, équilibré, sans vis-à-vis et proche du chef-lieu de département. La grande surface habitable de la maison, dont la majeure partie est de plain-pied, est à la mesure des nombreuses dépendances de toutes fonctions et de toutes surfaces. Les terres elles-mêmes présentent une diversité qui allie la majesté de la vue au plaisir de la promenade, avec la possibilité de projets équestres et/ou maraîchers. En partie restaurée, avec des toitures en bon état, la vaste propriété saura également s’adapter aux besoins des collectionneurs et des entrepreneurs les plus divers.

820 000 €
Honoraires à la charge du vendeur


Voir le Barème d'Honoraires

Référence 252534

Surface cadastrale 12 ha 33 a 98 ca
Surface du bâtiment principal 430 m2
Nombre de chambres 6
Surface des dépendances 1130 m2
dont aménagées 85 m2

Voir le Diagnostic de Performance Energétique

Conseiller
Périgord Blanc

Jonathan Barbot +33 1 42 84 80 85

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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.

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