Aux portes de Tours, une ancienne closerie,
ses deux logis et ses caves troglodytiques
ses deux logis et ses caves troglodytiques
Tours,
INDRE-ET-LOIRE
centre-val-de-loire
37000
FR
Situation
Riche de son histoire, de ses châteaux, de sa gastronomie et de ses vins, la Touraine, par la gare TGV de Tours, est à 55 min de Paris.
La commune qui s'étend jusqu'à la Loire a été inscrite au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco. Le centre de Tours et sa gare sont à moins de 15 min. La ville est animée par de nombreux commerces et un marché sous les halles deux fois par semaine. La vie y est rythmée par des associations sportives et culturelles dynamiques, tandis que les écoles et infrastructures sont nombreuses.
Description
Au pied du coteau ligérien, une allée mène à la propriété. Un portail en bois, encadré de piliers en pierre et accolé à la longère, ouvre sur le chemin qui traverse le jardin jusqu'à une dépendance transformée en garage.
Lui faisant face, la demeure en tuffeau au toit d'ardoises s'élève sur deux niveaux orientés vers le levant, une large terrasse donnant sur le jardin. Divisé en deux espaces enherbés, ce dernier est surplombé par une partie boisée, ponctuée de nombreuses caves troglodytiques.
Les deux bâtiments d'habitation et la dépendance que constitue le garage, quoique d'architectures distinctes, sont harmonisés sur divers aspects : façades en pierre enduite élevées de deux niveaux, baies droites et régulières, toits à deux pans, en tuile ou en ardoise.
Lui faisant face, la demeure en tuffeau au toit d'ardoises s'élève sur deux niveaux orientés vers le levant, une large terrasse donnant sur le jardin. Divisé en deux espaces enherbés, ce dernier est surplombé par une partie boisée, ponctuée de nombreuses caves troglodytiques.
Les deux bâtiments d'habitation et la dépendance que constitue le garage, quoique d'architectures distinctes, sont harmonisés sur divers aspects : façades en pierre enduite élevées de deux niveaux, baies droites et régulières, toits à deux pans, en tuile ou en ardoise.
La demeure
Orientée est-ouest, la bâtisse originelle a été prolongée par un retour d'équerre dans les années 1960. Sous une toiture d'ardoises percée de lucarnes jacobines et rampantes, la façade principale est recouverte par un enduit, laissant apparaître les chaînages d'angle et les encadrements de baies blancs. De larges portes vitrées au rez-de-jardin rythment le corps principal, tandis que le retour d'équerre est marqué par une arche en tuffeau.
Au devant, une terrasse couverte d'ardoises longe les deux ailes.
Le rez-de-chaussée
La partie la plus récente, ouverte face au sud, est aujourd'hui composée d'un salon d'été. Quelques marches mènent à une cave à vin creusée dans le coteau. Sur le côté, une porte ouvre sur le vestibule de la maison. Il dessert une cuisine, des toilettes et une salle à manger prolongée par un salon. Dans la première, deux fenêtres ouvrent sur une cour au pied du coteau. Le sol et les murs sont couverts de carrelage et une porte mène à la chaufferie. La salle à manger, éclairée par une porte vitrée qui donne sur la terrasse, conduit au salon. Sur le côté, un escalier en bois à quart tournant et balustres à double poire sculptés dessert l'étage. Une cheminée en tuffeau agrémente le salon, tandis que les baies ouvrent, d'un côté, sur la terrasse et le jardin, de l'autre, sur une cour arrière arborée avec un four à pain. Les sols sont couverts de carrelage et les poutres apparentes.
L'étage
Un couloir dessert, d'une part, une chambre à coucher, un bureau et une salle d'eau, de l'autre, un palier avec rangements qui mène à une deuxième chambre à coucher, à des toilettes, à une salle de bains, puis à une chambre principale. La première chambre, le bureau, la salle d'eau et le couloir sont sous toiture et les murs couverts de papier peint. Les sols sont couverts de parquets à lames droites, comme dans la deuxième chambre et le palier. La salle de bains est équipée d'une douche. Les sols et les murs y sont en carrelage. Enfin, la chambre principale occupe la totalité de l'étage du retour d'aile. Elle est éclairée par une double lucarne ouvrant sur le sud et par une porte vitrée qui donne sur une petite terrasse surplombant le jardin. Les murs peints sont ornés de boiseries et des corniches soulignent le plafond. Une cheminée en marbre blanc décore la pièce. Le sol est couvert de carreaux en terre cuite formant des motifs géométriques.
La longère
Bâti typique de la Touraine, elle était l'habitation du closier qui travaillait les vignes du domaine. Au 19e s., le peintre Henri-Camille Danger – qui vécut de 1857 à 1939 – s'y installe pendant quarante ans et y reste jusqu'à sa mort. Plusieurs de ses tableaux sont exposés au musée des Beaux-Arts de Tours, certains représentant les paysages de la commune.
À l'entrée de la propriété, la longère est orientée nord-sud. Deux portes et des fenêtres à petits carreaux rythment la façade principale. Sous une toiture à deux pans en tuile, les murs de moellons sont couverts d'enduit.
Le rez-de-chaussée
Une porte en bois plein ouvre sur un dégagement qui dessert une cuisine ainsi qu'une salle d'eau avec toilettes d'une part, une chambre et un salon en enfilade, d'autre part. Lui faisant face, se trouve un accès à une cour gravillonnée à l'arrière. Les murs sont pour la plupart en pierre de tuffeau. Ceux de la cuisine sont couverts d'enduit. La chambre à coucher est éclairée par une baie ouvrant au sud. Dans le salon agrémenté d'une cheminée en tuffeau, une porte fermière en bois, vitrée dans sa partie supérieure, accède au devant de la maison. Tous les sols sont en carreaux de terre cuite, les poutres apparentes et les murs peints.
Les combles
Un grenier étendu sur toute la longueur du bâtiment est accessible depuis l'extérieur grâce à une baie percée dans le mur pignon.
La dépendance
Les murs sont en moellon et les chaînages en pierre de tuffeau. La toiture, à deux pans, est en ardoise. Aujourd'hui à usage de garage, elle permet le stationnement de deux véhicules, sur une surface d'environ 35 m².
Le jardin
Divisé en deux espaces, il s'étend principalement à l'avant de la demeure. Face à la terrasse, une première partie enherbée est plantée de rosiers. En contrebas, un second espace permet l'accès au coteau boisé et à deux caves troglodytiques. Un puits agrémente le jardin. Derrière les murs, une chapelle qui appartient à la commune témoigne du passé : elle fut le lieu de pèlerinages dédiés à la Vierge sous l'Ancien Régime. Sur le côté, des tilleuls apportent ombre et fraîcheur. De nombreuses terrasses aux revêtements divers entourent les bâtiments.
Les caves
Elles jalonnent tout le coteau. Les plus proches, entre la maison et le garage, servent actuellement de cave à vin, de bûcher et de local pour entreposer le matériel de jardin. Les deux plus grandes sont accessibles depuis l'espace extérieur situé en contrebas de la partie enherbée.
Ce que nous en pensons
Une propriété de caractère, ancrée dans l'histoire locale par sa proximité avec la chapelle et le peintre qui y vécut, qui révèlera tout son potentiel après quelques travaux. Le dynamisme de la commune et la proximité de Tours constituent de véritables atouts pour une famille qui souhaiterait redonner vie à la demeure ou pour un projet de gîte au cœur des châteaux de la Loire.
La vue dégagée sur le paysage environnant, que ménage la position dominante de la propriété, ainsi que le jardin et ses nombreux recoins en font un formidable terrain de jeux.
665 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 183415
| Surface cadastrale | 3212 m2 |
| Surface du bâtiment principal | 174 m2 |
| Nombre de chambres | 5 |
| Surface des dépendances | 91 m2 |
| dont aménagées | 56 m2 |
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
