À mi-chemin entre Nantes et Ancenis, sur les bords de Loire,
une villa Belle Époque remarquablement restaurée et ses maisons d’amis
une villa Belle Époque remarquablement restaurée et ses maisons d’amis
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LOIRE-ATLANTIQUE
pays-de-loire
FR
Situation
Implantée dans la partie orientale du département de Loire-Atlantique, au sein d'une commune recherchée des bords de Loire, à une vingtaine de kilomètres de Nantes, la propriété est à deux pas d’une gare TER qui permet de rallier la métropole en 17 min. Commerces, écoles, services de santé, associations et lieux historiques ou culturels : tout est présent dans un périmètre restreint, ce qui concourt à l'agrément de l'emplacement. L'aéroport international de Nantes-Atlantique est à 30 km, les premières plages de la côte océanique sont à 70 km, enfin Paris se trouve à 360 km.
Description
Derrière une première grille qui donne sur la rue, une allée bordée de haies mène à une seconde grille, soutenue par deux piliers en pierre sèche. Le parc se découvre alors, avec d’un côté un vaste et profond garage, un préau et un atelier ainsi que deux maisons d’amis aménagées dans les anciennes écuries. Au fond, la sobre façade arrière de la villa ferme la perspective sur la partie haute du parc.
En déclivité, celui-ci contourne la demeure des deux côtés, réserve un espace pour la piscine et son pool house, ménage une large terrasse devant la façade face à la Loire, puis descend jusqu’au mur d’enceinte. En contrebas de la terrasse, deux rangées d’arbres centenaires encadrent un élégant tapis de pelouse. Enfin, percé dans le mur d’enceinte, un portillon ouvre un accès à la rue qui mène à la gare.
Villégiature érigée en 1899 pour un industriel nantais, la demeure est composée d’un corps de logis à base rectangulaire précédé de deux tourelles semi-octogonales que relie une travée centrale à l'avant, côté Loire, et qui semblent former un décor en avant-corps. Édifiée presque intégralement en tuffeau sur un soubassement en granit, elle est élevée de deux niveaux. La toiture d’ardoises est à quatre pans pour le corps arrière. Les tourelles sont coiffées chacune d’un toit en pavillon et la travée centrale, qui abrite dans une niche en façade une vierge protectrice, est surmontée d’un fronton triangulaire qui domine en hauteur la toiture postérieure. Flanquées de part et d’autre, deux ailes d’un seul niveau reproduisent le modèle semi-octogonal des tourelles, apportant assise et équilibre à l’ensemble. Les modénatures aux encadrements des baies sont en tuffeau. À l’étage noble, les balustres en pierre ont été comblés lors d’une restauration précédente. Les deux toitures octogonales des tourelles sont soutenues par un encorbellement mouluré à larges denticules.
Complétant le bâti, les deux maisons d'amis, mitoyennes, qui apparaissent juste après le franchissement de la grille d’entrée ont été aménagées en gîtes indépendants. Elles ont été édifiées en moellon de schiste enduit avec modénatures en brique et coiffées d’une toiture d’ardoises à deux pans. Chaque maison dispose d'un petit jardin indépendant, bordé par une ganivelle en châtaigner.
En déclivité, celui-ci contourne la demeure des deux côtés, réserve un espace pour la piscine et son pool house, ménage une large terrasse devant la façade face à la Loire, puis descend jusqu’au mur d’enceinte. En contrebas de la terrasse, deux rangées d’arbres centenaires encadrent un élégant tapis de pelouse. Enfin, percé dans le mur d’enceinte, un portillon ouvre un accès à la rue qui mène à la gare.
Villégiature érigée en 1899 pour un industriel nantais, la demeure est composée d’un corps de logis à base rectangulaire précédé de deux tourelles semi-octogonales que relie une travée centrale à l'avant, côté Loire, et qui semblent former un décor en avant-corps. Édifiée presque intégralement en tuffeau sur un soubassement en granit, elle est élevée de deux niveaux. La toiture d’ardoises est à quatre pans pour le corps arrière. Les tourelles sont coiffées chacune d’un toit en pavillon et la travée centrale, qui abrite dans une niche en façade une vierge protectrice, est surmontée d’un fronton triangulaire qui domine en hauteur la toiture postérieure. Flanquées de part et d’autre, deux ailes d’un seul niveau reproduisent le modèle semi-octogonal des tourelles, apportant assise et équilibre à l’ensemble. Les modénatures aux encadrements des baies sont en tuffeau. À l’étage noble, les balustres en pierre ont été comblés lors d’une restauration précédente. Les deux toitures octogonales des tourelles sont soutenues par un encorbellement mouluré à larges denticules.
Complétant le bâti, les deux maisons d'amis, mitoyennes, qui apparaissent juste après le franchissement de la grille d’entrée ont été aménagées en gîtes indépendants. Elles ont été édifiées en moellon de schiste enduit avec modénatures en brique et coiffées d’une toiture d’ardoises à deux pans. Chaque maison dispose d'un petit jardin indépendant, bordé par une ganivelle en châtaigner.
La villa Belle Époque
D'une surface totale d’environ 275 m², l’édifice, double en profondeur, a fait l’objet d’une restauration complète et de grande qualité ces deux dernières années.
Devant la demeure, avec une perspective remarquable sur la Loire, une large terrasse couverte de graviers est délimitée par une balustrade en ferronnerie. De là, un large escalier à rampe basse donne accès au parc en contrebas.
Le rez-de-chaussée
L’entrée se fait depuis la terrasse par un perron à double volée situé devant la travée centrale et ceint d’une rampe en ferronnerie ornée de vasques qui figurent des têtes de lion. Une porte à deux vantaux ouvre sur une pièce d’accueil agrémentée d’un bar qui dessert d’un côté un vaste salon traversant et, de l’autre, une petite salle de repas ouverte sur une grande salle à manger qui communique avec la cuisine située à l’arrière. Une porte derrière le bar commande également un petit vestibule qui distribue toutes les pièces du rez-de-chaussée et comporte un départ d’escalier en chêne ainsi qu’un accès extérieur au dos de la demeure. Un grand salon occupe l'une des tourelles. Une cheminée contemporaine avec insert est adossée contre l'un des murs. La pièce ouvre sur un dégagement qui distribue, d’un côté, une chambre et, de l’autre, une vaste salle de douche ainsi que des toilettes. Au bout, une porte donne accès à la piscine.
Dans le cadre de la rénovation totale de l’édifice, le rez-de-chaussée a été entièrement restauré avec des matériaux nobles : sol en gré cérame avec système de chauffage, fenêtres en bois à double vitrage, menuiseries intérieures, rideaux et mobilier sur mesure, appareillage électrique et électro-ménager de grande qualité. La salle à manger est équipée de stores à projection électriques. Au niveau des pas de porte, des fresques en mosaïque rappellent le nom de la propriété.
Le premier étage
Il occupe uniquement le corps central de la villa. L’escalier mène à un palier en pichepin qui distribue deux grandes chambres à coucher côté Loire. Aménagées dans les tourelles, elles comptent chacune une salle de bains avec baignoire, douche, toilettes et jouxtent deux petites chambres. L'une occupe la travée centrale côté Loire, l’autre donne sur l’arrière de la demeure. Une salle de douche et des toilettes leur sont associées. Dans tout l’étage, les sols sont couverts de parquets en pichepin, sauf ceux des salles de bain, revêtus de grès cérame.
Les combles
D'une surface potentielle encore aménageable de 44 m² environ, ils sont intégralement isolés et permettraient d’accueillir une chambre supplémentaire avec sa salle de bains et des toilettes ainsi qu’une salle de détente, entre autres possibilités. Une étude de faisabilité a été réalisée à cet effet dans le cadre des travaux de restauration.
Les deux maisons d'amis
La maison d'amis
La première, située dans la partie gauche des anciennes écuries, est composée au rez-de-chaussée d’une vaste pièce de vie avec cuisine équipée ouverte et d’une salle de douche avec toilettes indépendantes, toutes parquetées. Dans la salle de séjour, un départ d’escalier en chêne mène à une mezzanine aménagée en chambre. Une porte vitrée ouvre sur un balcon longé d'un escalier extérieur qui conduit au petit jardin. Une seconde chambre, indépendante, se tient derrière la mezzanine. Mansardé et recouvert au sol d'un parquet en chêne, l’étage est éclairé par des fenêtres de toit et des oculi. L’ensemble est en excellent état, entièrement équipé et actuellement exploité en gîte pour quatre couchages.
La maison d'amis
D’une configuration identique à la première, la seconde maison d'amis se trouve dans la partie droite des anciennes écuries et fait présentement l'objet du même usage avec ses quatre couchages.
Les dépendances
Le garage
Situé en haut de la parcelle, mitoyen des maisons d’amis, il s'étend sur 20 m x 4 m environ et permet de stationner aisément plusieurs véhicules à la suite. Il sert également de remise pour le mobilier de la villa et de la terrasse en hiver. Il comporte une petite pièce qui abrite la chaudière et les ballons d’eau chaude des maisons d’amis ainsi que des toilettes et un point d’eau. Dans son prolongement, accessible par une porte à un vantail, une remise de 10 m x 4 m environ apporte une surface de stockage supplémentaire.
Le préau
De l’autre côté des maisons d’amis, un corps de dépendance abrite une petite pièce fermée, qui fait office d’atelier avec point d’eau, ainsi qu'un préau équipé d’un four à pizza. Il a été édifié en moellon de schiste avec modénatures en brique et coiffé d’une toiture en fibrociment ondulé. Il sert d'espace de loisirs et de détente aux beaux jours mais pourrait aussi recevoir une cuisine d’été.
Le parc et la piscine
Le parc
Il s’étend sur près de 6 000 m². Passé la grille d’entrée en haut de la parcelle, un chemin en gravier matérialise un espace dédié au stationnement des voitures pour le garage et les maisons d’amis. Il contourne ensuite un large tapis de pelouse circulaire et conduit à l’entrée de la villa. Tout autour, une riche végétation composée d’arbustes, d’ifs et de lauriers rythme la partie haute du parc. Sur un côté de la villa, face à la baie de la cuisine, un jardin potager composé de deux larges bacs jouxte une volière et une case à lapin. De l’autre, un espace est dédié à la piscine.
Côté Loire, de part et d’autre de la vaste terrasse exposée au sud, le parc se prolonge en contrebas jusqu’au mur de clôture. En nette déclivité, il comporte quelques cèdres centenaires et une riche variété de végétaux qui garantit une floraison une grande partie de l’année. Enfin, suivant l’axe central de la villa, au pied de l’escalier qui commande la terrasse, un chemin en gravier et un parterre fleuri matérialisent un tapis de pelouse en forme de cœur, qui ouvre la perspective vers le fleuve en contrebas.
La piscine
Aménagée sur un côté de la villa et d’une surface de 32 m², formée par un rectangle de 4 x 8 m, elle est chauffée par une pompe à chaleur et équipée d’un toit escamotable. Une large terrasse en bois exotique encadre la margelle et s’étend jusqu’à un pool house ombragé.
Ce que nous en pensons
Une villa emblématique de la Belle Époque, repensée comme un lieu de vie autant que d’accueil pour des séjours mémorables. Dans ce cadre idyllique, la tranquilité le dispute à l’élégance : la lumière omniprésente, qui baigne des espaces intérieurs aux volumes exceptionnels, la vue dégagée sur la Loire depuis la terrasse, les salons et les chambres. Le tout profite de choix esthétiques exigeants, opérés dans le cadre d’une restauration attentive.
Dans une commune prisée des bords de Loire et à quelques encablures de la grande Cité des Ducs, les nombreuses possibilités d’usage des habitations principale et secondaire, accompagnées de leurs utiles dépendances et entourées d'un parc savamment dessiné, font de la propriété un lieu à part, à bien des égards.
2 480 000 €
Honoraires à la charge du vendeur
Référence 341971
| Surface cadastrale | 5755 m2 |
| Surface du bâtiment principal | 275 m2 |
| Nombre de chambres | 5 |
| Surface des dépendances | 150 m2 |
| Nombre de lots | 1 |
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NB: Les informations mentionnées ci-dessus résultent de notre visite sur place, mais également des informations reçues du propriétaire actuel de ce bien. Elles n’ont vocation ni à l’exhaustivité, ni à une stricte exactitude notamment quant aux surfaces relevées ou aux époques de construction. A ce titre, elles ne sauraient engager notre responsabilité.
