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Au cœur du village, la façade principale, surmontée d’un fronton en plein-cintre, se découvre à travers une grille ouvragée encadrée de hauts murs de pierre. Des ailes plus basses prolongent la maison de chaque côté comme pour souligner le parfait équilibre qui s’en dégage. Combinant l’élégance d’une demeure du 18e siècle, dont la plupart des empreintes ont été sauvegardées, et le confort d’une chaleureuse maison de famille, La Forge se prêtera aisément aux regards créatifs des photographes et des cinéastes qui trouveront là tous les atouts pour libérer leur imagination.
Nous recherchions un bien à acquérir dans la région. Suite à la présentation de ce bien, nous avons eu un réel coup de cœur et nous pouvons dire que c'est la demeure qui nous a choisis et non l'inverse. De plus, sa localisation est idéalement accessible depuis Paris, à une heure de TGV ou moins de trois heures en voiture.
Il s'agit d'un petit château classé Inscrit MH datant de 1735 pour un total d'environ 600 m2. Sa conception est idéale car chaque pièce, de taille confortable, reste à taille humaine. Une très jolie façade en pierre de taille de la Meuse, un escalier suspendu extrêmement rare, un vestibule qui porte encore les traces du passage des carrosses de son premier propriétaire, une orangerie et de belles dépendances.
Les vieilles forges de Haironville, créées au milieu du 16e siècle, avaient été vendues en 1721 au duc Léopold de Lorraine par Philippe d'Orléans. Mais dès 1723, les forges, le fourneau, le pressoir et le moulin étaient en si mauvais état que, Léopold ne pouvant les réparer, c'est Jacques Louis Bourlon de Saint-Dizier, fermier général des domaines de la baronnie d'Ancerville, qui obtint la rétrocession du fief d'Haironville. C'est sans doute à lui et à son épouse Agnès Bouland que l'on peut attribuer la construction du château en 1735, selon la date portée sur l'avant-corps central. Vendu comme bien national à la Révolution, le château changea à plusieurs reprises de propriétaires dans le courant du 19e siècle, et fut acheté en 1907 par l'historien Pierre Arthur Lefebvre. Par mariage, il passa à l'organiste Félix Raugel. Après le décès de la famille Raugel, le château est à l'abandon et tombe pratiquement à l'état de ruine. C'est Monsieur Georges Duménil, président de l'association Maison Paysannes de France entre 2011 et 2015, qui l'a acheté et rénové dans les années 1980 avant que nous en fassions l’acquisition en 2015.
Nous proposons ce lieu pour des tournages et des prises de vue. Sa rénovation, son charme, son organisation, ses dépendances ainsi que son jardin à multiples recoins permettent de créer des atmosphères et des situations à l'infini. De plus, un accès véhicule très aisé facilite l'installation des équipes.
Au cœur de la Meuse, nous sommes à moins d'une heure de Verdun... Pour les bonnes tables, nous recommandons : « Le Bistro Saint-Jean » et « Côté Cépages » à Bar-le-Duc. « Le Petit Bouchon » à Bazincourt-sur-Saulx et « L’Archestrate » à Saint-Dizier. À la ferme de Navi, plantation truffière de cinq hectares, il est tentant de découvrir les truffes mésentérique et uncinatum, truffe de Meuse dite « truffe de Bourgogne ». Pour une petite marche, il suffit de suivre la vallée de la Saulx sur le chemin du Tacot à Haironville.
Nous donnons l'accès à la totalité des bâtiments ainsi qu’à la cave voûtée pour les tournages et les prises de vues.. L'hébergement se fait dans le bâtiment principal. D'autres hébergements (hôtels, chambres d'hôtes) sont disponibles aux alentours.
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